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      • Publié le 10 janv. 2023
      • Mis à jour le 29 août 2023
    • 18 min

    Éclairage au travail : Comment allier productivité et économies d'énergies ?

    eclairage au bureau

    Article mis à jour le 24/11/2022

    Une pièce, une lampe et un interrupteur. La lumière est plutôt quelque chose de facile à gérer, non ? Pourtant, ce n'est pas si simple, car bien choisir sa lumière est important. C'est un sujet technique et souvent méconnu. En effet, la lumière n'a pas qu'une fonction utilitaire : elle doit aussi habiller et donner vie. En ce sens, le style et la qualité de la lumière ne sont pas accessoires, car ils peuvent impacter l'ambiance de travail, mais aussi la productivité et la santé des travailleurs. La lumière est essentielle pour notre bien-être 3 facteurs à ne jamais négliger : luminosité, température de couleur et indice de rendu des couleurs, 5 réflexes pour repenser l’éclairage de votre poste de travail. Conseils pour créer une bonne ambiance lumineuse dans un bâtiment tout en consommant moins d'énergie. Nous faisons le point.

    Une bonne lumière pour un cadre de travail agréable

    Vous avez probablement déjà expérimenté des lumières qui fatiguent les yeux, qui donnent un teint blafard, qui rendent l'ambiance pesante et qui peuvent même provoquer des maux de tête. Pour bien vivre et bien travailler, il faut donc bien éclairer. Il n'existe pas une lumière artificielle, mais des lumières artificielles. En effet, selon la chaleur, la position, la direction et la puissance, le rendu peut varier de manière significative.

    Chaque éclairage dispose d'un ton qui lui est propre. Il peut créer des ambiances propices au repos, à la rêverie et à la détente, ou, au contraire, entretenir l'éveil et la motivation. Une lumière riche en bleu peut être parfaite pour une journée au bureau. Mais le soir ou la nuit, elle induit des risques de perturbation des rythmes circadiens. On entre ici dans le principe de l'éclairage biodynamique qui consiste à voir la lumière non pas comme quelque chose d'utilitaire, mais comme un levier de confort et de santé pour respecter les utilisateurs.

    Ainsi, les systèmes d'éclairage biodynamiques peuvent adapter la colorimétrie des lampes selon le moment de la journée afin de se rapprocher des variations de couleurs de la lumière naturelle du matin au soir. Ces changements sont basés sur des températures de couleur. On les mesure en degré Kelvin et ils évoluent constamment. Ainsi, le matin, la lumière est plutôt chaude et dorée, avant de devenir blanche, plus souvent plus douce en milieu de journée avant de passer à un jaune orangé au coucher du soleil. Intégrer la biodynamique dans son éclairage permet de créer des ambiances de travail plus adaptées, en particulier dans les immeubles, bureaux ou bâtiments qui ne disposent pas ou peu d'éclairage naturel.

    Lumière directe ou indirecte : deux options pour bien éclairer son bureau

    Dans un bureau, vous avez deux grandes options : la lumière directe ou indirecte. Chacune dispose de caractéristiques qui lui sont propres. Explications.

    La lumière directe

    C'est la lumière que l'on perçoit qui provient directement de l'ampoule ou du néon. Traditionnellement, la plupart des éclairages disposent d'une lumière directe, car c'est une démarche qui est simplefacile et bon marché. Ce sont ces ampoules, spots ou néons qui tapissent les plafonds des bureaux et qui sont installés à la chaîne. Si elle est pratique pour éclairer un point précis, elle reste très fonctionnelle et souvent peu travaillée.

    En effet, elle crée des ombres importantes qui peuvent donner la sensation de réduire la taille de la pièce. Lorsqu'elle est mal calibrée ou mal orientée, elle peut éblouir et provoquer une fatigue oculaire importante. C'est une lumière brute qui s'accommode mal de la création d'un espace de vie ou d'une ambiance particulière.

    lumière direct

    La lumière indirecte

    À l'inverse, la lumière indirecte crée une ambiance plaisante. C'est un éclairage qui se reflète sur une surface (mur, sol, plafond) ou un objet avant de vous parvenir. Parce qu'elle est mieux contrôlée, elle dispose d'un meilleur équilibre visuel. À partir du moment où la source lumineuse est masquée par une applique, un abat-jour, un meuble ou un accessoire, on parle de lumière indirecte.

    C'est une lumière qui répartit l'éclairage de façon uniforme et qui habille un bureau avec une lueur chaude et confortable. Elle améliore la visibilité, soulage la fatigue oculaire et peut même accroître la productivité. Dans les zones où la lumière naturelle est absente ou limitée, la lumière indirecte fait office de substitut pour un confort visuel optimal.

    Quelle valeur d'éclairement pour un confort visuel correct ?

    La question de la lumière sur les lieux de travail est réglementée depuis le décret n° 83-721 du 2 août 1983. Ainsi l'article R.232-7 du code du Travail précise les normes minimales à suivre :

    • Pour les voies de circulation intérieure : minimum 40 Lux
    • Pour les vestiaires et sanitaires : minimum 120 Lux
    • Pour les locaux aveugles affectés à un travail permanent 200 Lux. C'est également cette norme qui est appliquée pour le travail de bureau.

    Enfin, n'oubliez pas de tenir compte de la température de couleur et de l'indice de rendu des couleurs (IRC). La première catégorise la chaleur de la lumière :

    • La lumière chaude est inférieure à 3 300 ° K.
    • La lumière moyenne ou intermédiaire est entre 3300 ° et 5000 ° K
    • La lumière froide est supérieure à 5 000 ° K

    Quant à l'IRC, c'est un indice varie entre 1 et 99. À titre de comparaison, un IRC de 100 correspond à la lumière naturelle du jour, cela signifie que les couleurs sont perçues sans aucune déperdition pour l’œil humain. Plus l'indice est bas, plus la lumière va avoir tendance à changer les couleurs que l'on perçoit.

    • Éclairage des voies publiques : de 70 à 80.
    • Commerces, bureaux et logements : de 80 et 95 selon la qualité de la lumière. Au-delà de 90, la lumière artificielle est capable de concurrencer la lumière naturelle.

    5 bons réflexes à adopter pour l'éclairage au travail :

    • Identifier les risques

    La santé au travail peut être impactée par les conséquences d’un mauvais éclairage. Les nuisances lumineuses se manifestent notamment par le rayonnement (avoir une lampe nue dans son champ visuel), l’intensité (éclairage intensif ou trop faible) et le contraste de la lumière (effet stroboscopique ou zone d’ombres).

    Résultats ? Une baisse de l’acuité visuelle, la diminution du champ visuel, la baisse de la vision du relief ou de la perception des couleurs. Et, à terme, une fatigue physique et intellectuelle. En effet, l’organisme compense alors par des efforts inutiles et s’épuise : se protéger des éblouissements, forcer l’attention pour percevoir des détails ou cligner des yeux trop fréquemment. Or, en plus de la santé, une fatigue importante entraîne un risque pour la sécurité des salariés.

    Depuis 1983, la réglementation française s’intéresse à la prévention des risques liés aux nuisances visuelles au travail (aujourd’hui reprise dans les articles R 4223-1 et suivants du Code du travail).

    • Bien positionner les éclairages

    Premier point : si vous travaillez sur ordinateur dans une pièce munie de fenêtres, vous devez positionner votre écran de manière perpendiculaire à la source lumineuse. La tentation est grande d’installer votre bureau sous une fenêtre mais cela se révèle une très mauvaise idée pour vos yeux. Pour profiter de la vue et détendre vos yeux, vous tournerez la tête à 90°. En plus, cela détendra vos cervicales !

    Second point : choisissez des surfaces de travail adaptées afin d’éviter les réflexions de lumière indésirables : vous éviterez ainsi les bureaux laqués ou les revêtements brillants. Adoptez une surface mate pour ne pas être ébloui. La taille compte aussi ! Pour pouvoir poser une lampe derrière son ordinateur ou à côté, il faut un bureau suffisamment grand afin d’éviter de placer la lumière directement vers soi.

    • Multiplier les sources lumineuses

    Quel que soit votre poste de travail, en bureau ou en atelier, la première règle est de multiplier les sources d’éclairage. L’éclairage naturel est bien sûr le plus agréable alors profitez de vos fenêtres. On ajoute un éclairage général comme un plafonnier en évitant une lumière directe. Cette source de lumière zénithale va créer des zones d’ombres au niveau de l’espace de travail. Aussi, on ajoute des** éclairages au niveau du poste de travail** comme des lampes de bureau, si possible orientables. On peut aussi ajouter des LED sous forme de spots ou de guirlandes lumineuses pour égayer son bureau.

    • Choisir le bon éclairage

    Vous croyez que choisir son éclairage est simple ? Vous devez veiller autant à la quantité qu’à la qualité de l’éclairage. L’éclairage se sélectionne aujourd’hui en fonction de la chaleur et de la puissance.

    Depuis plusieurs années, les LED (lampes électroluminescentes) ont remplacé les vieilles ampoules à filament tungstène: plus économes, plus durables, plus diversifiées, elles multiplient les points forts. Gardez en tête que la facture d’électricité reste à votre charge en cas de télétravail !

    Des éclairages adaptés aux rythmes de l’organisme humain ont vu le jour, avec les** lampes biodynamiques** dont la couleur change en fonction des moments de la journée. Par exemple, on sait que la lumière bleue est néfaste en fin de journée et peut empêcher de trouver le sommeil.

    Pour les fans d’innovation, on trouve désormais des lampes connectées pilotées avec son smartphone.

    Bonus : 3 unités de mesure à connaître pour choisir son éclairage

    • Lux : c’est l’unité d’éclairement d’une surface. Le Code du travail prévoit que les locaux professionnels bénéficient d’un minimum de 120 lux.
    • Kelvin : il mesure la température de couleur de l’éclairage. Pour bien éclairer un bureau, un éclairage chaud et naturel avec une température autour de 3 000 k est satisfaisant.
    • IRC (indice de rendu des couleurs) : un indice de 100 correspond à la lumière naturelle. Il faut donc s’en approcher et, sur le lieu de travail, un minimum de 80 est requis.
    • Personnaliser son éclairage au travail

    Enfin, l’éclairage se personnalise en fonction du travailleur et de sa mission. En effet, le besoin en lumière est différent à 20 ans et à 40 ans. Plus on vieillit, plus l’éclairage doit être lumineux. Plus le travail est méticuleux, plus le flux lumineux par surface en lux doit être élevé. Si on compte en moyenne 300 lux pour un travail dans le tertiaire, Une activité de précision comme l’horlogerie demandera de son côté 1 500 lux.

    La clé est donc la possibilité de personnaliser son éclairage au travail. C’est tout simple : puis-je déplacer la lampe de bureau parce que je suis gaucher ? Puis-je augmenter l’éclairage parce que j’ai plus de 50 ans ? Chaque détail compte pour la santé et le confort, vu le temps que nous passons chaque jour sur notre poste de travail.

    eclairer

    3 facteurs à prend en compte :

    N°1- La luminosité

    Sans surprise, la luminosité contribue au confort visuel de tous. Afin que l’éclairage soit optimal, le choix des luminaires est important, notamment en matière d’uniformité. Au sein du local, aucun endroit ne doit se trouver à moins de 70-80% du niveau de luminosité de l’endroit le plus éclairé. Autrement dit, il vous faut toujours assurer une cohérence et une constante dans l’émission de la luminosité au sein de l’établissement.

    D’autre part, afin d’obtenir un éclairage sans nuisance, il est important de réaliser une vue d’ensemble des équipements mis en place dans les locaux. Disposition des bureaux, situation des machines, évolution des travailleurs dans l’espace… Tout doit être analysé de manière à disposer les luminaires aux meilleurs emplacements.

    Cela permet d’éviter à la fois :

    • L’éblouissement direct causé par les sources lumineuses,
    • L’éblouissement indirect lié à la réflexion des sources de lumière sur les différentes surfaces brillantes. Il est généralement recommandé d’opter pour des surfaces mates sur les plans de travail, le sol et les parois afin d’éviter ce type de désagrément.

    Selon l’article R. 232-6-2 du Code de Travail, plusieurs valeurs minimales sont à respecter selon les espaces de travail et le type d’activité. Les voici :

    • 200 lux → Mécanique moyenne, dactylographie, travaux de bureau.
    • 300 lux → Travail de petites pièces, bureau de dessin, mécanographie.
    • 400 lux → Mécanique fine, gravure, comparaison de couleurs, dessins difficiles, industrie du vêtement.
    • 600 lux → Mécanique de précision, électronique fine, contrôles divers.
    • 800 lux → Tâche très difficile dans l'industrie ou les laboratoires.

    NB : En cas de travail sur écran, les valeurs minimales sont de 300 à 500 lux si l’écran présente un fond clair, 200 à 300 lux si l’écran est sombre.

       

    TABLEAU

    Recommandations de luminosité d’après la norme NF EN 12464-1. Source : Tableau INRS.

    De manière complémentaire, la norme française NF EN 12464-1 indique des niveaux d’éclairements minimaux pour le plafond et les murs, soit > 50 lx sur les murs et > 30 lx sur le plafond.

    N°2 - La température de couleur

    Parmi les facteurs à prendre en compte dans l’éclairage des locaux, la température de couleur est cruciale. Si les établissements recherchent avant tout le confort visuel, il ne faut pas négliger la température de couleur. Mais qu’est-ce que cela signifie, concrètement ? La température de couleur est, à partir de la source lumineuse installée, la couleur apparente de la lumière. Mesurée en degré Kelvin, elle permet de distinguer différentes ambiances et de classer les lampes selon plusieurs teintes :

    • La teinte chaude (lumière chaude) = < 3300°K
    • La teinte intermédiaire (lumière blanche, neutre) = entre 3300 ° et 5000°K
    • La teinte froide (lumière bleutée) = > 5000°K

    Selon l’INRS, il existe certaines activités où la couleur (IRC et température) joue un rôle très important. Travaux de peinture, imprimerie, salles d’examen en hôpital ou encore salons de coiffure, tous ces locaux ont besoin d’un bon équilibre des couleurs. Il est alors préconisé de choisir des lampes avec un IRC élevé (> ou égal à 90) et une température de couleur intermédiaire (environ 4000° K).

    N°3 - L’indice de rendu de couleur (IRC)

    Tout comme la température de couleur, l’indice de rendu des couleurs est souvent laissé de côté au profit de la luminosité. Pourtant, l’IRC des sources lumineuses a toute son importance. Son principe ? Il évalue les capacités de la lumière émise à restituer la couleur de l’objet éclairé. Autrement dit, si un marteau rouge est posé sur la table, la lumière doit être suffisamment performante, au moment de l’éclairage, pour révéler la couleur de l’objet utilisé.

    Pour aider les établissements à se repérer, la Commission Internationale de l’Éclairage a conçu un indice du rendu des couleurs ainsi qu’une grille d’évaluation allant de 1 à 99. L’idée est d’observer une parfaite qualité de rendu des couleurs via les sources lumineuses installées dans les locaux. En fonction de l’activité de l’établissement, une souplesse dans l’évaluation est possible : un IRC supérieur à 80 est toujours attendu pour un bon éclairage, indice abaissé à moins de 60 dans le cadre des activités qui ne nécessitent pas d’avoir un bon rendu des couleurs.

    Bon à savoir : un IRC à 100 correspond à la lumière naturelle du jour. Les couleurs sont alors parfaitement vues, sans déperdition pour l'œil !

    Comment choisir le bon éclairage pour son entreprise ?

    Comme mentionné préalablement, tout dépend de l’activité réalisée en entreprise. Néanmoins, quelques critères sont à prendre en compte :

    • La capacité visuelle et l’âge des travailleurs,
    • Les détails à observer au cours des tâches quotidiennes,
    • Le contraste entre les objets manipulés et le fond,
    • Le rythme de travail et la vitesse d’exécution.

    Une circulaire émise le 11 avril 1984 explique qu’il “est souhaitable de modifier les niveaux d'éclairement en fonction de certaines conditions rencontrées et notamment des possibilités visuelles des travailleurs. Des mesures peuvent être proposées par le médecin du travail.” En mettant en place un bon système d’éclairage, vous réduisez le risque de baisse d’acuité visuelle ou de fatigue oculaire de vos collaborateurs. Moins fatigués, ils travaillent mieux et plus !

    Créer une bonne ambiance lumineuse en consommant moins

    Passez en mode LED

    Il fut une époque où les lampes halogènes étaient les stars des entreprises grâce à leur éclairage très puissant. Très gourmandes en énergie, elles ne sont aujourd'hui plus fabriquées et ont été remplacées par les lampes basse consommation et les lampes à LED. Ces dernières disposent d'une forte efficacité énergétique grâce à un éclairage puissant, un** coût moindre** et une** durée de vie bien supérieure** aux lampes traditionnelles. Et elle a aussi d'autres avantages :

    • Les ampoules LED ne chauffent pas et ne dégagent pas de chaleur.
    • Elles possèdent un allumage instantané à 100% en matière de clarté.
    • Elles sont vendues dans de nombreux design selon vos besoins pour créer des ambiances dans votre bureau.
    • Elles sont indispensables pour faire des économies tout en participant à la réduction de votre empreinte carbone.

    Pour un confort visuel optimisé, la lumière indirecte grâce aux LED vous permet d'aménager des lieux de travail agréables et bien éclairés. Il faut ainsi la considérer dans vos projets selon vos besoins :

    • La lumière d'ambiance vient donner vie à votre intérieur grâce à des appliques murales ou des lampes à poser capables de créer des ambiances selon les bureaux et les pièces en complément de la lumière naturelle.
    • La lumière fonctionnelle vient éclairer une zone précise avec une lumière souvent directionnelle. Le but est de servir un objectif pour accomplir une tâche particulière et ponctuelle.
    • La lumière d'appoint ajoute charme, élégance et subtilité dans un bureau. Souvent, on ne la remarque pas, mais elle est pourtant indispensable pour mettre en valeur une décoration ou des détails architecturaux par exemple.

    Éclairer uniquement quand c'est nécessaire

    Pour optimiser votre budget et votre éclairage, il est nécessaire de responsabiliser vos équipes. Vous pouvez les encourager à éteindre les lumières dans les bureaux et salles de réunion quand il n'y a plus personne. Quelques minutes d'éclairage inutile peuvent vous coûter cher à la fin de l'année.

    Pour y parvenir, il existe différentes options comme une formation sur l'éco-éclairage et le développement durable, une affichette posée à proximité de la salle, ou des appareils et dispositifs capables d'assurer l’extinction automatique des lampes (détecteur de présenceminuterie,programmateur d’extinction la nuit et le week-end). Certains détecteurs couplés à des scénarios d'automatisation peuvent ainsi éclairer des pièces uniquement à partir d'une certaine heure ou si une personne est présente, ou encore selon la luminosité de la pièce. Grâce à l'IoT (internet des objets), il est aussi possible de connecter vos lampes et ampoules afin de personnaliser l'éclairage de façon fine, selon les préférences individuelles de vos équipes.

    Optimisez votre espace

    La manière dont vos bureaux sont aménagés peut tout changer en matière d'éclairage et de luminosité. En effet, le but est ici d'optimiser la portée de l'éclairage naturel afin de mieux profiter de la lumière du jour. Pour cela, installez les postes de travail à proximité des fenêtres, sans pour autant les coller à ces dernières. Laissez toujours un espace de circulation. En effet, si vous aurez sans doute plus de lumière, selon la qualité de votre isolation, vos équipes risquent d'avoir froid en hiver et trop chaud en été.

    Dégagez les fenêtres de ce qui fait obstacle à l’éclairage naturel (plantes, affichages, armoires, etc.) afin de laisser passer un maximum de lumière. Enfin, pour optimiser la luminosité, privilégiez des peintures claires pour les murs. C'est l'occasion de rafraîchir votre espace de travail et de disposer d'une lumière de meilleure qualité. N'oubliez pas que l’éclairage naturel, en plus d’économiser l’énergie, contribue à réduire la fatigue oculaire des travailleurs.

    Bien éclairer son bureau est une tâche plus technique que de simplement mettre une ampoule au plafond. La lumière joue un rôle considérable sur la productivité de vos équipes, l'ambiance de travail et la perception que vos collaborateurs peuvent avoir de leur environnement. Pour bien éclairer un bureau, il est donc important d'être bien accompagné pour faire les bons choix. En combinant lumière naturelle et artificielle, vous pouvez créer des ambiances propices au travail dans vos locaux tout en ayant une consommation énergétique responsable.

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