Présentation : Les mesures environnementales pour la transition écologique

La détermination du niveau de résistance des équipements, des matériaux et des hommes face aux contraintes environnementales, justifie la mise en place des tests effectués sur l’environnement. Ces inspections concernent le niveau d’humidité, la qualité de l’eau ou de l’air, les perturbations liées au bruit ou à la lumière, etc.

La mise en place de tests d’humidité a pour but de mesurer la capacité de résistance des matériaux et des machines en situation de stockage ou d’entreposage. Ces conditions environnementales concernent aussi bien l’humidité que les températures élevées.

Une autre vérification importante est la mesure de l’eau. Cela concerne aussi bien les eaux souterraines contenues dans la nappe phréatique que les eaux de surface. Les cours d’eau et les plans d’eau font partie de cette deuxième catégorie qui, elle, fait l’objet d’une évaluation dans le cadre de la transition écologique. surveillance permanente de la part du programme de surveillance.

Le contrôle des radiations est une aussi mesure environnementale de premier plan. L’objectif dans ce cas consiste à prévenir les effets néfastes des radiations sur la santé des travailleurs. Il en est ainsi des gaz à effet de serre dont la dangerosité sur l’environnement et la destruction de la couche d’ozone continuent de faire couler beaucoup d’encre, surtout en 2022 et 2024.

La mesure de la lumière n’est pas en reste. A travers ces tests, le but est d’établir le seuil de tolérance En matière d’éclairage, pour une bonne visibilité, il est important d'assurer une transition écologique vers des solutions plus durables. L’achat des lampes ne se faisant pas en fonction de leur puissance, mais du niveau d’éclairement qu’elles offrent.

Enfin, la mesure du son est une autre préoccupation majeure sur les lieux de travail. Malgré l’existence d’une réglementation en la matière, les risques de pollution restent élevés, nécessitant des mesures de retombées de poussières. pollution sonore existent toujours sur les espaces de travail. Cela peut être le fait de bruits divers. Le bruit désigne une multitude de sons discordants.

Le thermomètre est l’instrument utilisé pour mesurer la température. L’unité de mesure des températures est le degré Celsius (°C). Dans les conditions normales de température et de pression, la différence de température entre l’aspect liquide de l’eau et le point d’ébullition est de 100 °C. Les cinq catégories de thermomètre sont :

• le thermomètre classique
• le thermomètre vertical
• le thermomètre oblique
• le thermomètre horizontal
• et enfin, le thermomètre à minimum.

La mesure de l’humidité quant à elle se fait grâce à un hydromètre. Il existe deux types d’humidité : l’humidité absolue et l’humidité relative. L’humidité absolue permet d’exprimer la quantité d’eau contenue dans l’air. L’humidité relative quant à elle, exprime le rapport entre la vapeur d’eau et le niveau de pression maximale. Le principe d’humidité distingue deux états : un état de sècheresse de l’air quand l’hydromètre affiche 0 % et un état de saturation extrême quand l’hydromètre affiche 100 % d’humidité.

La mesure de l’eau

Le photomètre, le mesureur de pH, le turbidimètre, le conductimètre, les kits d’essais chimiques et le thermomètre sont les appareils utilisés pour faire une analyse de la qualité de l’eau. Ces instruments sont d’une grande qualité et de très grande précision. La norme certificative de l’analyse de l’eau est la norme ISO 9000. Considérée de nos jours comme étant la principale matière première, l’importance de l’eau n’est plus à démontrer. La quantité de pH est l’unité de mesure utilisée pour tester la qualité de l’eau. Des dispositifs de surveillance de la qualité des eaux de surface et des eaux souterraines sont régulièrement mis en place par les Etats.

La mesure des radiations

Le sievert, le becquerel et le gray sont les trois unités permettant d’exprimer le niveau des radiations. Dans ce processus, c’est le produit du rayonnement qui est mesuré et non le rayonnement lui-même. Autrement dit, les analyses recherchent l’impact des radiations sur l’organisme de ceux qui y ont été exposés : humains, faune et flore alentours.

La mesure de l’air

La présence dans l’air des gaz comme le dioxyde d’azote et des particules fines constitue un facteur de pollution. Mais de nombreux autres polluants existent. Il s’agit entre autres du monoxyde de carbone, des composants organiques volatils, de l’acide cyanhydrique… Ces substances sont contenues dans les pesticides, le benzène, le naphtalène, le tabac, les gaz d’échappement des véhicules, le formaldéhyde sans oublier le trichloréthylène.

La mesure de la lumière

Le lumen est l’unité de mesure utilisée pour analyser la qualité et l’intensité d’un rayon lumineux. Généralement, on parle de lumen, de lux ou de pied-bougie. Le but du test est de vérifier que le niveau d’éclairement est conforme à la norme et ne constitue pas un danger pour le confort et la sécurité du salarié sur son lieu de travail. L’expression pied-bougie est d’origine britannique. Un pied-bougie correspond à 10,57 lux. Les tests permettant de mesurer l’intensité d’une ampoule se font dans des laboratoires spécialisés.

La mesure du son

La science qui permet d’étudier les sons est l’acoustique. Deux éléments permettent de caractériser le son : son intensité et sa fréquence. Lorsque des sons n’ayant aucune harmonie sont captés par l’oreille, on parle de bruit. Le bruit fait généralement partie des pollutions sonores. L’unité de mesure du son est le décibel (dB). Les spécialistes en acoustique se servent d’un instrument appelé sonomètre pour analyser le son. Le sonomètre se compose d’un microphone, d’un préamplificateur, des filtres pondérateurs ou filtres d’analyse, d’un amplificateur et d’un écran de lecture. L’analyse du son permet de déterminer l’impact de la pollution sonore sur les humains et sur l’environnement.