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      • Publié le 9 janv. 2023
      • Mis à jour le 29 août 2023
    • 18 min

    Le confort thermique plus adapté à votre espace

    Le confort thermique plus adapté à votre espace

    Article mis à jour le 29/11/2022

    Le confort thermique est une sensation liée à la température ambiante. Chaque individu jugera son confort thermique selon des critères qui lui sont propres. Le Code du travail oblige l’employeur à procéder à l’évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs, y compris ceux liés à l’ambiance thermique. Il précise que les locaux de travail fermés doivent donc être chauffés pendant la saison froide afin d'y maintenir une température convenable. Chauffer des entrepôts de grande hauteur n'est toutefois pas une sinécure. La mission est rude mais pas impossible. Il existe une variété de solutions industrielles pour l'accomplir.

    Comment définit-on le confort thermique ?

    Chaque individu jugera son confort thermique selon des critères qui lui sont propres. La sensation de confort thermique dépend de la température ambiante mais également du type d’activité. Elle varie selon que l'individu se repose, effectue une tâche qui réclame peu ou d'importants d'efforts physiques, manipule des charges ou des outils, pratique une activité sportive… Elle est également liée à d’autres paramètres physiologiques tels que l’état de santé, l’âge ou l’état physique et psychologique, le métabolisme, la faculté d'acclimatation... Elle dépend bien évidemment aussi de la tenue vestimentaire.

    Le confort thermique est donc un paramètre subjectif et non un critère strictement définissable. Un individu peut en effet éprouver une sensation de confort thermique dans des conditions très différentes. Les contraintes thermiques varient en effet selon la saison, la nature de l'activité et de l’environnement de travail. Elles ne sont forcément pas semblables en extérieur ou en intérieur. Et au sein même d'un bâtiment, les contraintes ne sont évidemment pas les mêmes dans un bureau ou dans un atelier. Il subsiste, de plus, encore des différences notables entre les ateliers selon qu'il s'y trouve des machines, des fours, des équipements frigorifiques ou générateur de chaleur... Chaque situation est donc quasiment unique.

    Un équilibre à trouver

    Le confort thermique est assuré quand un équilibre est trouvé entre le corps humain de chaque individu et les conditions d’ambiance. La température corporelle normale d’un être humain est d’environ 37°C. Elle peut être considérée comme normale entre 36,1°C et 37,8°C. Au-delà, on parle de fièvre ou d’hyperthermie. Elle varie toutefois selon l’âge, le moment de la journée, le niveau d’activité, les conditions extérieures… Sauf dans des situations exceptionnelles ou inhabituelles, la température corporelle sera généralement toujours supérieure à la température d’ambiance. Il s'agit donc de trouver un équilibre afin d’assurer le bien-être de l’individu. Pour la majorité des individus, la plage de températures de confort se situe entre 18 et 28°C. Mais comme une diversité de paramètres doivent être pris en considération, il est impossible de définir une température qui fournit une sensation de confort thermique satisfaisante pour tous. D’autant que les critères d’ambiance peuvent varier, tout en préservant la sensation de confort. Par exemple, une personne peut ressentir une sensation d’inconfort à une température donnée et une sensation de confort dès lors qu’elle se trouve exposée à un fort rayonnement solaire. De même, le ressenti de confort peut être plus satisfaisant à 35°C qu’à 25°C, si à 25°C l’air est fortement humide et qu’il n’y a pas de vent.

    Les flux d'air ainsi que l'hygrométrie font en effet également partie des facteurs influents sur le confort thermique au même titre que la température ambiante et celle des parois d'une pièce, le mode chauffage et de ventilation, la tenue vestimentaire, l'activité de l'individu...

    Autres facteurs d'influence

    Avec un chauffage par convection par exemple, le transfert de chaleur s'effectue par le déplacement de l'air depuis le système de chauffage vers les occupants. Puisque l’air chaud remonte, la température est plus élevée en hauteur qu'au niveau du sol. Ce qui entraîne un certain inconfort thermique. Avec un chauffage par rayonnement, ce sont les ondes infrarouges qui transfèrent la chaleur depuis le système de chauffage vers les occupants. Ce qui limite le phénomène de stratification de l’air et améliore la sensation de confort thermique.

    Le taux d'humidité de l'air peut avoir une influence sur la sensation de confort d’un individu. Un air très sec ou trop humide entraîne un sentiment d'inconfort. Mais il est cependant difficile pour une personne d'évaluer le taux d'humidité dans l'environnement dans lequel elle se trouve. Idéalement, le taux d’humidité de l’air intérieur doit se situer, sur une plage de température allant de 18°C et 22°C, entre 30 % et 70%. Un individu ne distinguera toutefois pas une hygrométrie de 40 % ou de 60 %. Il ressentira un certain inconfort seulement si l’humidité relative est inférieure à 30 % ou supérieure à 70 %.

    Le vent ou les flux d’air influencent les échanges de chaleur par convection et accélèrent le processus d’évaporation à la surface de la peau. La vitesse de l’air est un donc également un paramètre ayant une influence sur le confort thermique notamment lorsque, dans un bâtiment, elle ne dépasse pas 0,2 m/s. Et là encore, cela dépend des situations, les courants d’air peuvent être appréciés en été puisqu’ils favorisent la baisse de température corporelle alors qu’ils peuvent être incommodants en hiver.

    Ainsi la diversité de ces critères rend difficile la détermination de conditions d’ambiance idéales qui assurerait un confort thermique à la totalité des individus dans un même environnement.

    Le confort thermique dans les bureaux

    Conditions de température et évaluation des risques

    Selon l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), aucune indication de température maximale ou minimale au-delà de laquelle il serait dangereux ou interdit de travailler n’est spécifiée dans le Code du travail.

    L'INRS précise que la norme NF X35-203/ISO 7730 relative au confort thermique fournit des indications de seuils. Cette norme considère que la plage de température idéale dans les bureaux se situe entre 20 à 22 °C.

    Certaines dispositions réglementaires visent néanmoins à assurer des conditions de travail adaptées et de prévenir les risques liés au froid ou aux fortes chaleurs. L’employeur doit mettre en œuvre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs (article L. 4121-1 du Code du travail), en application des principes généraux de prévention du Code du travail. Il doit notamment prendre en compte les conditions de température lors de l’évaluation des risques et mettre en place des mesures de prévention appropriées. Cette évaluation comporte un inventaire des risques identifiés dans chaque unité de travail de l'entreprise ou de l'établissement, y compris ceux liés aux ambiances thermiques.

    Le Code du Travail oblige néanmoins les employeurs à veiller au renouvellement régulier de l’air dans les locaux fermés où les salariés sont amenés à exercer leur activité professionnelle. Les élévations exagérées de température, dont la valeur n'est pas précisée, doivent être évitées. Pour ce faire, toute solution de chauffage ou de rafraîchissement peut être mise en œuvre (art. R. 4222-1 du Code du Travail) : système de chauffage, de ventilation, de climatisation ou de brumisation.

    Par ailleurs l’Article R4213-7 du Code du travail spécifie que les équipements et caractéristiques des locaux de travail doivent être conçus de manière à permettre l'adaptation de la température à l'organisme humain pendant le temps de travail, compte tenu des méthodes de travail et des contraintes physiques supportées par les travailleurs.

    Enfin, il existe une norme internationale ISO 7730 : 2005 intitulée « Ergonomie des ambiances thermiques — Détermination analytique et interprétation du confort thermique par le calcul des indices PMV et PPD et par des critères de confort thermique local ». Cette norme présente des méthodes de prévision de la sensation thermique générale et du degré d'inconfort (insatisfaction thermique) général des personnes exposées à des ambiances thermiques modérées. Elle permet de déterminer analytiquement et d'interpréter le confort thermique, par le calcul des indices PMV (vote moyen prévisible) et PPD (pourcentage prévisible d'insatisfaits) et par des critères de confort thermique local, donnant les conditions des ambiances thermiques considérées acceptables du point de vue du confort thermique général et les conditions représentant les inconforts locaux.

    froid au bureau

    Mesures de protection contre le froid et la chaleur

    Si le Code du Travail ne mentionne pas de température minimale ou maximale pour travailler, il impose cependant certaines règles à l’employeur qui doit protéger les salariés des conséquences du froid ou de la chaleur. En général, la plupart des bureaux sont donc chauffés durant l'hiver. Un climatiseur réversible permet quant à lui de chauffer les pièces en hiver, et de les rafraîchir en été.

    Si la réglementation ne spécifie pas de limite de travail à la chaleur, l'INRS estime cependant qu'au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés. Ainsi, les risques liés à des ambiances thermiques au travail dépassant 30°C doivent être pris en considération et des mesures de prévention et de protection doivent être envisagées. D'autant qu'il est reconnu que l’âge, la condition physique et certaines pathologies peuvent accentuer les effets des fortes chaleurs sur l’organisme et donc détériorer les conditions de travail de l'employé.

    Dans certains bâtiments de bureaux, les systèmes combinés de chauffage et de climatisation permettent, été comme hiver, de maintenir une plage de température offrant des conditions de travail appropriées aux salariés. La climatisation rafraîchit l’air ambiant tout en renouvelant l'air afin de procurer une ambiance thermique agréable. Cependant, de nombreuses entreprises, petites ou grandes, ne peuvent proposer des bureaux climatisés à leurs employés pour des raisons techniques, économiques voire même éthiques (la climatisation est notamment consommatrice d'énergie).

    Mesures préventives en cas de fortes chaleurs

    La fréquence et l'intensité des canicules ont tendance à augmenter dans l'Hexagone. Durant l'été, les canicules surviennent plus précocement ou plus tardivement. Des températures dépassant 30 degrés, même si elles ne sont pas fréquentes, ne sont donc pas exceptionnelles. L’employeur doit donc définir les mesures préventives à mettre en place en cas de fortes chaleurs telles que l’aménagement des horaires, le roulement des équipes, la mise en place du télétravail, le déploiement de systèmes de rafraîchissement de l’air...

    Selon un guide du CSE (Comité social et économique), un salarié peut exercer son droit de retrait s’il estime qu’il court un danger grave et imminent à cause des températures très élevées qui règnent dans son bureau alors que l’employeur n'adopte pas de mesures préventives pour adapter ses conditions de travail à cette circonstance. Aucune température légale précise n’est définie et le salarié n’aura pas à apporter la preuve du caractère réel et effectif de la gravité du danger. Toutefois, s’il y a litige sur l’usage du droit de retrait, pour quelques raisons que ce soit, le motif pour se retirer sera apprécié par le juge au conseil de prud’hommes.

    chaleur bureau

    Spécificités des entrepôts

    Si assurer le confort thermique des employés travaillant dans des bureaux est relativement aisé, le défi est tout autre lorsqu'il s'agit de garantir un tel bien-être dans un local de très grand volume tel qu’un entrepôt. La hauteur des entrepôts peut en effet traditionnellement atteindre 12 mètres afin d'y entreposer les marchandises dans des racks de stockage. De plus, il existe une grande variété d'entrepôts qui se distinguent selon leur usage et l'activité de l'entreprise qui les exploite : entrepôt logistique pour stocker des marchandises, entrepôt frigorifique pour les denrées périssables, entrepôt de messagerie dédié à la distribution, entrepôt de stockage de matières premières et de produits finis par les industriels..

    Les entrepôts logistiques de classe A doivent notamment présenter au moins 9,30 mètres de hauteur sous plafond, entre 7,50 et 9,30 mètres pour les entrepôts de la classe B et moins de 7,50 mètres pour les autres entrepôts. Des entrepôts de très grande hauteur sont également exploités afin de pouvoir entreposer davantage de marchandises sur une moindre surface au sol. Leur hauteur peut atteindre une quarantaine de mètres. Évidemment, à de telles hauteurs, il n'est plus possible de manutentionner les charges avec un chariot à mât rétractable ou à mât tri directionnel. La manutention des palettes est prise en charge par un système de stockage automatisé ou robotisé.

    En France métropolitaine, selon le ministère de la transition écologique, les entrepôts ou plateformes logistiques de plus de 5 000 m2 totalisaient 76 millions de m2 en 2016. Leur activité, mesurée en emplois et en nombre de chargements et de déchargements de véhicules, est fortement liée à leur surface et à la durée de stockage des marchandises. En moyenne, pour 10 000 m2 de surface d’entreposage, 47 personnes sont salariées dans des emplois logistiques et ont procédé à 8 000 chargements ou déchargements de véhicules sur une année. La mécanisation et l’automatisation des opérations logistiques se développent mais restent encore largement minoritaires.

    Ainsi, même lorsqu'une entreprise exploite un magasin automatisé, l'activité humaine demeure car ce magasin destiné au stockage de marchandises ou de matières premières est bien souvent couplé à un bâtiment de taille plus classique pour la réalisation de certaines opérations, la réception, la préparation des commandes ainsi que l’expédition.

    confort thermique entrepôt

    Les aspects communs à prendre en compte

    Cependant, quels que soient leur surface, leur volume et leur hauteur, tout entrepôt, comme tout bâtiment industriel, doit être correctement ventilé afin de maintenir la qualité de l'air intérieur. Il peut également être chauffé pour assurer le confort thermique des employés. Cependant, ce n'est pas toujours possible. Dans les entrepôts frigorifiques pour produits périssables ou les aliments surgelés, le confort thermique ne pourra être procuré que par le port de vêtements, de chaussures et de gants conçus pour protéger ceux qui les portent des risques liés au froid. Cependant, lorsque la manutention des marchandises s'y effectue à l'aide de chariots élévateurs, ceux-ci peuvent être équipés d'une cabine fermée qui peut être chauffée comme tout véhicule.

    Même si l’entrepôt n'est pas destiné à l'entreposage de denrées périssables et qu'il y règne une température "normale", il est parfois impossible d'y installer un système de chauffage s’il est couplé à des quais de chargement de camions ouverts à tout vent. Les quais peuvent toutefois être équipés de sas, à bâche, à bourrelet, rétractable, gonflable à structure modulaire ou coussins. Ce qui permet d’assurer l’étanchéité entre les camions et le bâtiment. Les sas de chargement permettent en effet de fiabiliser le chargement ou le déchargement des marchandises, de limiter les intrusions de nuisibles, de poussière ou encore le renouvellement de l’air intérieur mais également grâce à leur étanchéité, ils améliorent la performance énergétique de l'entrepôt.

    Les entrepôts peuvent également être situés dans un bâtiment abritant diverses activités : ateliers de fabrication, lignes de conditionnement, postes de préparation de commandes... Des portes de grandes dimensions, permettant d'assurer les flux logistiques et le passage des engins de manutention, séparent les différents bâtiments. Certaines d'entre elles sont situées à l’intérieur d’un bâtiment ou au niveau des accès qui mènent vers l'extérieur. Pour éviter les courants d'air et le maintien de la température ambiante, en hiver, il vaut mieux que ces ouvertures soient fermées dès lors que leur ouverture n'est pas nécessaire à l'activité. Les portes à enroulement sont notamment conçues pour répondre à cette problématique. Elles permettent de fluidifier la circulation des véhicules de transport de marchandises sur le site tout en créant une séparation entre deux zones d'activité ainsi que l'extérieur. Ce type de porte comporte en général un tablier en PVC qui s’enroule verticalement autour de l’ouverture. Elle peut être actionnée selon les cas par un bornier ou un câble de commande manuelle ou via un système de détection automatique de piétons ou de véhicules. Cette automatisation assure un gain de temps non négligeable tout en garantissant que la porte ne restera ouverte que lorsque cela est nécessaire. Ce qui permet d’éviter les courants d’air ainsi que les déperditions de chaleur et donc de mieux garantir le confort thermique et le contrôle de la consommation énergétique.

    Quelques idées

    Ce n'est qu'une fois avoir équipé l'entrepôt de sas de quais et de portes aux accès donnant sur l'extérieur qu'il est envisageable d'installer un système de chauffage. Dans le cas contraire, les déperditions de chaleur seront telles que la facture énergétique grimperait en flèche et plomberait sérieusement le bilan carbone de l'entreprise.

    Comme pour tous les grands volumes, le chauffage des entrepôts requiert des systèmes spécifiques, prenant en compte les particularités de ce type de bâtiment. Il existe une grande variété de solutions délivrant des puissances adaptables qui peuvent être installées dans des hangars de stockage et halls de grande hauteur : appareil de ventilation de toiture qui permet un apport d’air neuf au sein d’un bâtiment et assure aussi la récupération de chaleur, aérochauffeur qui permet de recycler l’air intérieur afin de refroidir ou chauffer l’air ambiant tout en le purifiant, des chaudières gaz à condensation, de panneaux solaires thermiques pour produire toute l’eau chaude... L'entrepôt pourra également être équipé d'un système de chauffage par air chaud tel qu'un aérotherme. Un ou plusieurs appareils seront positionnés stratégiquement en fonction du volume à traiter ainsi que des contraintes du local. L'air peut être soufflé en vrac soit par l’intermédiaire de gaines rigides ou souples. Les aérothermes peuvent être associés à des ventilateurs de brassage qui vont rabattre et mélanger l’air chaud afin de le répartir de façon homogène dans l’entrepôt. Les aérothermes peuvent exploiter différents types d'énergie : eau chaude, gaz ou électricité.

    Un rideau d'air chaud peut également être placé aux portes d'expédition et de réception des ateliers, au niveau des accès aux entrepôts… C'est un dispositif intégrant de puissants ventilateurs qui créent une barrière d'air sur une porte ou une ouverture pour séparer thermiquement deux environnements distincts, sans limiter l'accès des personnes et des véhicules. Cette solution contribue à réduire les dépenses énergétiques liées au chauffage et au refroidissement, tout en protégeant de l'environnement intérieur et en favorisant le confort des occupants. Outre la protection contre l'intrusion d'insectes, de poussière, de particules, de polluants, elle empêche les flux d'air chaud et froid entrants. Pour ce faire, un jet d'air est propulsé à grande vitesse sur toute la largeur de l'ouverture.

    Les cassettes rayonnantes sont couramment exploitées dans des locaux présentant de grandes hauteurs de plafonds. Elles peuvent être disposées afin d'assurer le chauffage de zones spécifiques d'un entrepôt par exemple au niveau des postes de préparation de commande ou d'étiquetage pour procurer le confort thermique souhaité aux opérateurs. Un entrepôt comporte en effet bien souvent des zones où règnent des ambiances thermiques différentes. Les cassettes rayonnantes permettent de diriger la chaleur là où elle est nécessaire, et donc d'adapter le chauffage à une zone d'activité particulière. Dirigé du haut vers le bas, le flux d’air réchauffe l’air ambiant comme un radiateur électrique.

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