Il existe différentes sortes de chaussures de sécurité. Basses ou hautes, les bottes de sécurité, les mocassins et les surchaussures sont quelques-unes d’entre elles. Le choix des chaussures de sécurité se fait en tenant compte des risques métiers.
À chaque modèle correspond un type de protection selon les fonctions occupées par l’opérateur. Le port des sabots, des bottes ou des surchaussures par exemple est recommandé en fonction des corps de métier et des risques existants. Employés d’usines, employés de laboratoires, conducteurs d’engins, maçons, électriciens, charpentiers, soudeurs, menuisiers, sont quelques catégories d’utilisateurs appelés à arborer ce type de chaussures.
De façon précise, la convention collective détermine les équipements de protection adaptés à chaque corps de métier. À titre d’illustration, si le port des chaussures anti-perforation est indiqué pour un charpentier, un pompiste, en revanche, devra opter pour des souliers équipés de semelles antidérapantes.
L’utilisateur doit, en outre, se préoccuper des éléments climatiques (humidité, froid, chaleur, vent…). Au cas où il est appelé à se déplacer tout le long du jour, les chaussures légères sont à privilégier. Elles constituent un atout indéniable, car elles facilitent la mobilité du travailleur et un gain de temps non négligeable.
L’autre aspect important à prendre en compte pour le choix d’une chaussure de sécurité est le confort. Les chaussures à talons matelassés ou équipées de languettes garnies de mousses en haut du pied constituent à ce propos un excellent choix. Elles assurent à la fois le confort et la sécurité du travailleur pendant son déplacement.