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      • Publié le 12 janv. 2023
      • Mis à jour le 8 avr. 2024
    • 17 min

    Protéger son corps en été, au travail, de la tête aux pieds

    EPI et chaleur : protégez pieds, mains et la tête même l'été.

    Article publié le 30/06/2022

    En France, depuis quelques années les vagues de chaleur intenses et durables se multiplient. Des conditions climatiques qui mettent à mal nos extrémités. Selon l’environnement dans lequel on travaille, travailler tête nue parce qu’il faut chaud peut nuire gravement à la santé. Comment atténuer les effets incommodants de la chaleur tout en continuant à travailler en sécurité ?

    Protéger sa tête

    Jamais sans mon casque de sécurité ?

    Avec leur double rôle d’anti-pénétration et d’amortisseur, les casques de sécurité protègent la partie supérieure de la tête contre les chocs :

    • provoqués par des chutes d’objets venues du haut ;
    • causés par des heurts avec des installations, lors d’une chute de plain-pied ou de travaux en hauteur ;
    • d'éclats solides ou de liquides projetés.

    Selon le Code du Travail, son port n’est obligatoire que dans deux situations :

    • Sur les chantiers de démolition (Art. R.4534-73) ;
    • Lors de travaux de montage, de démontage et de levage de charpentes et d'ossatures (Art. R.4534-102).

    Toutefois, de nombreux maitres d’ouvrage l’imposent.

    Toute contravention à la règle entraine des sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement.

    Et s'il fait chaud ?

    Pour être protégé sans « crever de chaud », on peut opter pour des solutions favorisant aération et protection contre le soleil, dotées d’un effet rafraîchissant.

    • Une casquette de travail coquée

       (norme EN 812) : Avec ses empiècements en maille filet sur les côtés, elle permet à l’air de circuler. On peut la choisir avec une coiffe textile amovible, lavable en machine et un bandeau mousse sur le front pour une meilleure absorption de la sueur

    Attention : grâce à sa coque, une casquette de travail protège votre tête des chocs légers. Mais elle ne peut pas se soustraire au casque de sécurité, dans les environnements de travail où il est obligatoire. Quant à la casquette sans coque, elle n’est pas un EPI.

    • Un casque aéré

       (EN 397) muni de basane anti-sudation : Avec ses aérations latérales et sa basane anti-sudation en coton égyptien placée au niveau du front, il permet confort et sécurité.

    Grâce à leur doublure interne insérée d'un côté ou de l'autre, certains casques de sécurité peuvent être portés "à l'envers", la visière côté nuque, sans compromettre les spécifications EN.

    • Un protège-nuque à fixer au casque pour protéger sa nuque des rayons UV

      . Le mode d’emploi est simple : on le trempe dans de l’eau fraîche pendant 2 minutes avant de le fixer sur son casque : 4h de fraîcheur continue. On peut préférer les écharpes rafraîchissantes à porter autour du cou, qui fonctionnent selon le même procédé.

    Attention : si elles rafraichissent, elles ne protègent que du rayonnement UV...

    Casque de protection été

    Casque et rayonnement UV

    La durée de vie d'un casque de sécurité est sensible aux rayonnements UV. Lorsqu'elle est exposée à la lumière du soleil, la stabilité de la coque en plastique peut être affectée, ce qui peut affaiblir le chapeau et compromettre la sécurité de celui qui le porte. Il existe des casques dotés d’un capteur permettant d’évaluer l'intégrité du casque UV. Si elle n’est plus optimale, le casque doit être remplacé. En général tous les 2 ans (contre tous les 5 ans pour des casques exposés à des températures plus élevées ou à la lumière du soleil extrême).

    Protéger ses yeux

    Les yeux sont particulièrement sensibles aux rayons UV : invisible, le rayonnement ultraviolet ne stimule pas les défenses naturelles des yeux. Une dose trop élevée de rayons UV, de manière directe ou par réflexion, peut causer des inflammations.

    • Une inflammation de la cornée, la membrane qui protège le globe oculaire, on parle de photokératite
    • Une inflammation de la conjonctive, membrane qui tapisse le blanc de l’œil, on parle de photoconjonctivite

    Les brûlures entraînées par « un coup de soleil des yeux », souvent douloureuses, sont accompagnées de différents symptômes :

    • Sensibilité à la lumière
    • Gênes visuelles
    • Impression de grains de sable dans les yeux
    • Vision trouble
    • Larmoiements
    • Yeux rouges

    La plupart du temps, ces pathologies sont bénignes. On les soigne en quelques jours, entre autres à l’aide de collyres. Dans les cas les plus graves, cette brûlure des yeux peut entraîner la mort des cellules oculaires, et ainsi une perte de la vision.

    Les effets chroniques du rayonnement UV peuvent aussi favoriser :

    • Le vieillissement oculaire
    • La formation d’une cataracte, opacification du cristallin, qui entraîne une déficience visuelle.
    • L’apparition de la DMLA, (Dégénérescence Maculaire Liée à l'Age), maladie chronique de la zone centrale de la rétine, appelée macula.

    WARNING : Outre des pathologies handicapantes causées par l’absence de protection oculaire, les gênes oculaires en raison de l’exposition au soleil peuvent être à l’origine d’accidents de travail, aux conséquences plus ou moins graves :

    Quels sont les travailleurs les plus exposés ?

    10% de la population active travaille en extérieur. Elle exerce dans les secteurs :

    • De la construction et du BTP
    • De l’agriculture
    • De l’entretien des parcs et jardins
    • Du monitorat sportif

    WARNING : Quand on travaille en altitude, ou à proximité de surfaces neigeuses ou réfléchissantes ou de plans d’eau, les risques professionnels aux UV sont majorés.

    • Au bord de mer, le sable réfléchit jusqu’à 20% des UV et l’eau jusqu’à 30%.
    • En montagne, même avec un temps couvert et/ou nuageux, les UV sont toujours actifs. En outre, plus on gagne en altitude, plus la quantité d’UV grimpe.

    L’ophtalmie des neiges provoque de vives douleurs et une sensibilité à la lumière.

    Protéger ses yeux du soleil

    Porter des lunettes pour protéger ses yeux

    • Lunettes de soleil ou lunettes de protection ?

    Être équipé pour préserver sa vue du rayonnement UV est essentiel : il est vivement conseillé de privilégier les lunettes de soleil certifiées CE avec un indice UV de 3 ou 4 en cas de très fort ensoleillement ou réverbération.Cet équipement doit être enveloppant et assurer :

    • Une protection anti-UV disposant du marquage CE. Cette norme exige des verres UV 400 qui filtrent 100 % des UV, c’est-à-dire toutes les longueurs d’onde inférieures à 400 nanomètres (0,4 micron),
    • Une protection contre la luminosité. Il en existe 5 catégories

    Les lunettes de soleil sont classées comme EPI lorsqu'elles sont utilisées pour protéger dans un environnement exposé au soleil ou à des rayons UV dangereux. La plupart d’entre elles sont appelées lunettes de sécurité. Les employés qui portent des lunettes de soleil peuvent réduire les risques de blessures grâce à une meilleure visibilité au soleil.

    • Quelles normes ?

    Les lunettes de protection anti-UV répondent à différentes normes :

    • La norme EN 166 : C’est la norme générale concernant les lunettes de protection. Elle englobe les exigences générales applicables à la protection des yeux : les montures/les supports, le marquage des branches et des verres…
    • La norme EN 170 : Elle spécifie les numéros d’échelon et les exigences relatives au facteur de transmission des filtres de protection contre le rayonnement ultraviolet.
    • La norme EN 172 : Elle spécifie les filtres de protection solaire pour usage industriel

    À SAVOIR : Ces lunettes de sécurité doivent être fournies par l’employeur. Les personnes qui ont des problèmes de vue peuvent avoir des exigences particulières et des besoins de correction spécifiques. De nombreux fabricants proposent des lunettes de protection adaptées à la vue du porteur, via un réseau d'opticiens partenaires.

    Les catégories de protection des yeux

    Protéger ses pieds et ses mains

    Les effets de la chaleur sur les pieds et les mains

    Sous l’effet de la chaleur, les vaisseaux sanguins se dilatent, le retour veineux est plus lent et le drainage est moins efficace.

    • Gonflement des doigts, des pieds, des chevilles
    • Transpiration des pieds et des mains
    • L’œdème des extrémités, qui menace les travailleurs qui souffrent d’hypertension ou de diabète.

    Des conseils pour « dégonfler »

    • Passez vos mains sous l’eau froide.
    • Attention aux sangles qui enserrent les épaules. Trop serrées, elles peuvent accentuer le gonflement des doigts.
    • Levez régulièrement les bras de manière à faire redescendre le sang.

    Puis-je travailler en tong ou sans chaussettes ?

    Oui, si vous tenez un bar de plage…

    Pour le reste, la tong de sécurité n’existe pas : il faut savoir que pour la plupart des secteurs d’activité, le port de chaussures de sécurité est obligatoire (BTP, industrie, restauration, logistique…). Des chaussures à la conception très technique (tige, doublure, semelle de propreté, semelle intermédiaire, semelle d'usure, semelle anti-perforation, embout de sécurité), conçues selon des normes strictes, adaptées aux risques inhérents à l’environnement de travail.

    Toutefois, nos pieds ont besoin de respirer, surtout pendant la période estivale. On peut opter pour :

    • Des sandales de sécurité, avec des aérations latérales, qui répondent à la norme anti-dérapant, résistantes à la chaleur (jusqu’`a 300 degrés), dotées de semelles intérieures antichocs amovibles, absorbant et éliminant l'humidité, et d’une coque de sécurité pour protéger les orteils.
    • Des chaussures fermées, avec tige textile en maille aérée ou ajourée, pour une meilleure respiration et évacuation de la transpiration, antibactérien et anti-odeurs, dotées d’embout en aluminium avec membrane respirant.
    • Des chaussettes de travail fabriquées en coton ou en fibres de bambou et les semelles respirantes qui évacuent la transpiration.
    Protéger ses pieds et ses mains l'été

    Suis-je obligé de continuer à porter des gants de travail ?

    De nombreux travailleurs rechignent à porter leurs gants de travail quand il fait chaud. Et pourtant, dans certains secteurs, où les mains sont les parties du corps les plus exposées aux risques de blessures, ils sont incontournables, en toutes saisons : 27% des accidents de travail les concernent, notamment dans les environnements de travail concernés par les 5 risques suivants :

    • le risque mécanique
    • le risque chimique
    • le risque thermique
    • le risque électrique
    • le risque hygiénique.

    Malgré des normes strictes, il existe des gants dotés de propriétés anti-chaleur

    • En toutes saisons, pour les soudeurs : des gants de manutention anti-chaleur permettent de réduire la transpiration des mains
    • Pour l’été, des gants dotés d’un effet rafraichissant

    WARNING :

    Pour ceux et celles qui travaillent en extérieur les mains nues, on pense à les protéger grâce à une crème anti-UV dotée d’un indice élevé. En été mais aussi le reste de l’année.

    • Le rayonnement UV-A est responsable du vieillissement cutané prématuré, le rayonnement UV-B peut provoquer des brûlures. Même en l’absence de soleil, les rayons UV atteignent votre peau.
    • Si vous ne protégez pas votre peau des rayons UV-A, les signes avant-coureurs de vieillissement cutané vous guettent : ridules, rides, taches pigmentaires et relâchement cutané.

    Protéger son corps

    Pour le haut

    Travailler torse nu n’est plus de saison

    Surtout quand on travaille dans un environnement à risques, l’équipements de sécurité est obligatoire.

    C’est à l’employeur qu’il revient de prévoir des vêtements adaptés pour éviter que le travailleur ne se mette en danger en voulant travailler « léger ».

    Des vêtements adaptés, c’est à dire ?

    • Du coton : Préférez le coton (et pourquoi pas le coton recyclé), plus respirant que le polyester : les matières synthétiques sont composées de plastique, qui encouragent la transpiration. Le coton fait partie de ces matières naturelles thermorégulatrices, grâce à leurs fibres qui absorbent l’humidité.
    • Des couleurs claires : (sauf si vous êtes un bédouin travaillant dans le désert) C’est bien connu, de la couleur d’une surface dépend la quantité de lumière que celle-ci nous renvoie mais aussi la quantité de lumière qu’elle absorbe. A l’inverse des teintes claires, les teintes foncées absorbent la lumière et donc l’énergie lumineuse, qui se transforme ensuite en chaleur.
    • Des manches courtes : Pourquoi pas le t-shirt refroidissant ? Composé d’une fibre qui absorbe l’eau, vous le trempez quelques minutes dans une bassine d’eau avant de l’enfiler. L’eau absorbée s’évapore tout au long de la journée de travail. Sensation de fraicheur et baisse de la température corporelle assurées.

    Il existe aussi des t-shirts aux mailles thermo-régulantes : au-delà d’une certaine température, elles retiennent l’humidité.

    Le gilet rafraîchissant est bien pratique quand il fait très chaud et que l’on ne dispose pas d’un haut adapté.

    Travailler dehors en été

    Pour le bas

    • Le short ? : De nombreux métiers impliquent de s'agenouiller régulièrement pour exécuter une tâche : carreleurs, plombiers, mécaniciens etc. Dans ce cas, le port de genouillères est obligatoire (norme EN 14404). Ce qui exclut de facto le port du short. On opte alors pour des pantalons ou des pantacourts de travail dotées de genouillères.

    Le short ou le bermuda de travail peuvent être agréables à porter et pratiques avec leurs poches nombreuses pour ranger tous types d’outils : c’est à l’employeur de de donner son accord, en fonction des risques identifiés au sein de l’environnement de travail de ses collaborateurs. Un ouvrier du bâtiment qui manipule du bitume chaud risque des brûlures s’il travaille avec ce short (ou avec un T-Shirt manches courtes).

    Il existe des kilts de travail

    100% coton ou dans du polyester recyclé, multipoches et qui permettent une aération et une liberté de mouvement optimales.

    Focus sur les vêtements anti-UV

    Que l’on travaille à l’extérieur (BTP, secteur agricole, logistique…) ou à l’intérieur (imprimerie, ateliers de soudure ou secteur de la désinfection), difficile d’échapper aux rayons ultraviolets (UV). A l’extérieur, ils sont générés par le rayonnement solaire, même imperceptible, à l’intérieur par des sources artificielles. L'exposition professionnelle intense et/ou prolongée aux UV peut être à l’origine de pathologies cutanées - brûlures ou des cancers de la peau – ou de troubles oculaires - conjonctivites, cataractes...

    Note : ces risques sont décuplés si l’exposition aux UV est conjuguée au maniement de certains produits chimiques ou à la prise de médicaments photo-sensibilisant.

    Les vêtements anti-UV en plus de la crème solaire

    Depuis 2018, une directive du règlement européen (UE) n° 2016/425 concerne les vêtements dotés d’une protection contre les rayonnements ultra-violets : à condition que leurs fabricants apportent la preuve que qu’ils peuvent « absorber ou réfléchir la majeure partie de l’énergie rayonnée dans les longueurs d’onde nocives », ces vêtements sont désormais considérés comme des EPI, A ce titre, ils doivent répondre aux normes en vigueur.Par exemple, vous portez une chemise anti-UV sur un chantier de construction routière ? Elle doit être conçue conformément à la norme EN ISO 204711, norme qui estampille les vêtements de signalisation à haute visibilité.

    Ne pas oublier sa crème solaire, une seconde peau.

    Sur un toit, la température peut monter jusqu’à 60°C. On n’oublie pas de se couvrir la tête (d’un casque même s’il fait chaud, il existe des modèles été) et de mettre de la crème solaire à indice élevé : les UV peuvent être la cause de cancers cutanés.

    Quand on pense protection de la peau contre les UV, on pense crème solaire dotée d’un indice de protection élevé : c’est une solution efficace à condition qu’elle soit utilisée en couches épaisses (entre 20 et 30 millilitres). Toutefois, cette solution comporte des inconvénients :

    • Presque toutes les crèmes solaires contiennent des filtres UV chimiques. En transformant le rayonnement UV en chaleur, elles accroissent la transpiration
    • Les crèmes contenant un filtre UV minéral sont plus difficiles à appliquer. Plus collantes aussi, elles sont un attrape-poussière.

    Les équipements de protection individuelle (lunettes et vêtements de protection) permettent de prévenir les risques liés à l’exposition aux rayons UV : les employeurs sont tenus par la loi de protéger leurs salariés en mettant à leur disposition des vêtements de protection adéquats. Grâce à une technique de tissage spéciale propres aux vêtements et de casquettes anti-UV (on pense aussi aux protège-nuques pour les casques de sécurité), 98 % des rayons UVA et UVB ne parviennent pas jusqu’à la peau.

    À savoir

    Le coton offre un indice de protection UV assez faible : un indice 10 à sa sortie du placard, un indice 3 s’il est mouillé de sueur après quelques heures de travail au soleil.

    Dans le domaine textile, la protection anti-UV est estampillée par la norme EN 13758-2¹, à laquelle s’ajoute un marquage spécifique.

    Toutefois, il n’existe pas de normes spécifiques pour la concrétisation des exigences essentielles de ce règlement. Pour les vêtements de protection, la norme européenne harmonisée EN ISO 13688 : 2013 spécifie des exigences générales de performance des vêtements de protection relatives à

    • Leur ergonomie
    • Leur innocuité
    • La désignation des tailles
    • Leur vieillissement
    • Leur compatibilité et leur marquage
    • Les informations dont les fabricants doivent accompagner les vêtements de protection.

    Mais cette norme ne contient aucune précision spécifique à la protection contre les UV : en plus d’une méthode de mesurage, cette norme devrait préciser de quelle manière des vêtements de protection peuvent être dotés de protection contre les rayonnements UV tout en demeurant pratiques et confortables.

    Une lacune à combler par les comités de normalisation des EPI.

    Le cancer de la peau reconnu comme une maladie professionnelle

    Le cancer de la peau, reconnu comme maladie profesionnelle

    Rien n’oblige un travailleur à déclarer une maladie à son employeur ; sauf si sa cause provient de son environnement de travail. Dans ce cas, elle peut être reconnue comme une maladie professionnelle, selon la définition qu’en donne l’Assurance maladie : « Une maladie professionnelle est la conséquence de l’exposition plus ou moins prolongée à un risque qui existe lors de l’exercice habituel de la profession»

    Depuis 2015, le cancer blanc de la peau est reconnu comme maladie professionnelle. Un cancer en forte augmentation au cours des dernières années. Cette augmentation est principalement due

    • À un rayonnement solaire plus intense en raison de la destruction de la couche d’ozone, sous l‘action des émissions de gaz à effet de serre (GES)
    • Au manque de protection au cours des activités effectuées au soleil : 80% d’entre eux sont liés à des expositions excessives aux rayons UV.

    L’exposition à des agents cancérogènes, sur son lieu de travail peut être responsable, du moins en partie, d’un cancer. Le fait qu’il soit reconnu comme maladie professionnelle permet de bénéficier de certaines prestations sociales et ouvre un droit à l’indemnisation du préjudice subi.

    WARNING: Dans l’eau, au bord de l’eau ou encore sur une surface claire, le rayonnement s’intensifie sous l’effet de la réflexion : même à l’ombre, on demeure exposé à 50 % du rayonnement UV originel.

    ¹EN 13758-2+A1:2006-12 « Textiles – Propriétés de protection contre le rayonnement UV solaire – Partie 2 : classification et marquage de l’habillement »

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