Alors que l’ensemble des entreprises sont engagées dans une dynamique de relance économique après des mois de pandémie, l’optimisation des achats indirects est un levier majeur à actionner. Pour y parvenir, il est important de bien identifier ces flux par essence diffus. « En s’appuyant sur la donnée, il est possible de mieux comprendre la nature de ces achats et, de la même façon, de les rationaliser », confie Philippe Mazet. Cette donnée est plus aisée à exploiter lorsque l’entreprise a optimisé ses processus d’approvisionnement afin d’identifier les opportunités d'économies. optimisé ses processus d’approvisionnement. digitalisé ses achats. « Les achats de classe C sont réalisés par différents intervenants dans l’entreprise, auprès de différents fournisseurs, pour différents types de références, souvent en dehors des processus d’achats directs., souvent en dehors des processus d’achats directs., continue Philippe Mazet, en ajoutant que cela est crucial pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il faut être en mesure de collecter les données pour l’ensemble de ces achats et de les réconcilier pour mieux les analyser ». Identification des sources de données, qualification de l’information et centralisation au sein d’un outil de gestion des achats sont les Trois actions prioritaires à mener pour optimiser les achats directs.. Mais le digital n’est pas tout, surtout lorsqu'il s'agit de réduire les coûts des achats non stratégiques, qui peuvent avoir un impact sur les entreprises ! « Disposer de la bonne information est capital pour mettre de l’ordre dans la politique d’achats indirects et découvrir d’importantes économies d’échelle., conclut Philippe Mazet, mais il ne faut jamais perdre de vue la satisfaction des clients internes. Le benchmarking des fournisseurs et des partenaires restent une variable essentielle pour tout acheteur… ».